Emil Zatopek et Haile Gebreselassie ont battu le record du monde du 10 000m le même jour ! C’était un 1er juin.
Pour le premier, c’était à Bruxelles en 1954, la première fois qu’un coureur passait sous les 29min! 28’54″2. Pour le 2nd, c’était en 1998 à Hengelo : 26’22″75, ce qui constitue son record et la 3è performance de tous les temps… Deux des plus grands champions de l’histoire de l’athlétisme.
Tel est le titre et l’ambition du livre qui paraît aujourd’hui aux Editions Amphora !
Co-écrit par Sylvain BAZIN, journaliste spécialisé et compétiteur reconnu, et Jean-Marc Delorme, entraîneur et pratiquant ultra, cet ouvrage qui s’adresse aussi bien au coureur débutant attiré par les courses nature qu’au trailer expérimenté souhaitant se fixer de nouveaux défis.
Une année de plus qui se déroule au fil de nos foulées, et parmi ces foulées de nouvelles jambes au coeur du peloton, sur la route ou dans nos chemins de campagne.
Le nombre de coureurs augmente et ça c’est un fait que l’on peut constater par soi-même. Les plus « anciens » coureurs voient bien que ça bouge beaucoup plus dans leurs villes et villages. Là où au début on prenait les « joggeurs » pour des fous, désormais voir quelqu’un faire son footing est devenu plus « courant ».
L’article que nous avions publié il y a 2 ans (interclubs d’athlétisme) vaut toujours pour après les Interclubs 2015. La difficulté de constituer des équipes est toujours là, sinon plus importante.
Les athlètes ont du mal à se rendre disponible sur deux dimanches, les déplacements freinent et coûtent aux petits clubs. D’ailleurs, ce sont souvent les mêmes athlètes qui reviennent rendre service année après année. Où sont passés les compétiteurs ?
C’est grâce à John AKII-BUA que nous voyons des athlètes célébrer leur victoire par un tour d’honneur !
Le coureur Ougandais de 400m haies est au couloir 1 de la finale des JO de Munich en 1972. En retard après un départ canon des favoris, il produit un superbe effort avec une dernière ligne droite de feu : victoire en 47″82, nouveau record du monde et 1er homme sous la barre des 48s !
On ne pouvait laisser les coureurs « sur le bord de la route » après les contradictions du traileur que vous semblez avoir appréciées … Eh oui, le coureur sur route est lui aussi plein de contradictions ! Petit tour d’horizon…
Voilà ce qu’on peut remarquer, entendre, voir, en ce qui concerne le trail… Cette discipline en pleine expansion, mais aussi pleine de contradictions . Certains se reconnaîtront ou penseront à des coureurs qu’ils connaissent ou qu’ils ont déjà croisé.
Comme partout, il y a de toutes les personnalités et de tous les comportements ! Il n’existe pas « d’esprit » ou de quoi que ce soit : la course, c’est ce que l’on en fait.
Bienfait (OUI !) de la déshydratation
En cas de déshydratation, le sang passe par une phase de plus grande concentration, ce qui est préjudiciable à l’effort. Ensuite, le corps s’adapte. Comme toujours, il le fait de manière à se protéger des futurs traumatismes. En l’occurrence, il réagit par l’expansion de son volume plasmatique. Certes, cet accroissement de la quantité de sang s’effectue à la marge. On joue là sur quelques décilitres. Mais cela compte !
Plus facile à dire qu’à faire, n’est-ce pas ? Surtout par rapport à notre sport qui est un loisir, un acte de bien-être et de santé, une passion et un moyen de dépassement… quelque chose qui d’une manière ou d’une autre prend une place importante dans notre vie en général.
Vous avez certainement un avis là dessus car à entendre les discussions des uns et des autres, la passion de la course à pied se discute. On n’aborde pas la course à pied de la même manière, c’est un fait !